domingo, 28 de marzo de 2010

ROI DE LA FRANCE ET LA NAVARRE ET L'ANOETA

Imanol Harinordoquy BO Anoeta 2010 04 2Image via WikipediaIl y a une année nous commentions les excellences d'Imanol Harinordoquy dans ce même blog –Un Togado en la melé Noticias de Gipuzkoa-, à l'occasion du Tournoi des VI nations. Fini celui de cette année avec la victoire absolue de la sélection française qui s’est imposée plus dans des résultats qu'en jeu, nous avons à Imanol de nouveau ce samedi en Anoeta et dans un parti très difficile pour nos voisins de la Côte Basque.

Ce joueur, labourtain de naissance et navarrais d'éducation, ait été probablement le meilleur joueur de cette compétition internationale - je ne peux pas être objective à ce sujet et je n'aime pas l'individualisation qui on prétend introduire dans ce jeu collectif avec tant «talent d'or du match» -, ou au moins le meilleur dans son poste. La France s’est imposée avec sa défense, une grande conquête et récupération de ballons, éviter de conceder des fautes et une tendance à abuser du jeu au pied et, sauf face à l'Italie, à peine de rugby champagne. Mais dans tous les matchs Imanol a été le premier attaquant et le premier défenseur de son équipement jusqu'à l'épuisement.

La tâche qui lui s'approche samedi est, toutefois, assez dure. Le Stade Toulousain s’est imposé avec ampleur dans les deux dernières journées, 0-29 à Paris et 34-3 face à Montpellier et a besoin de la troisième victoire pour passer être entre les deux premiers du Top 14 - seulement il lui sépare 1 point de la 2ª place-, et assurer ainsi directement place dans une demi-finale. L'Olympique de Biarritz a très difficile d'atteindre un poste dans le barrage qui lui permettrait d’arriver au moins à la phase finale mais il requiert les points pour maintenir cet espoir.

Le 10 avril espérons qu’Imanol retourne à Anoeta pour le match contre des Ospreys et de toutes manières nous pouvons toujours signaler - si le coût nous le permet-, à nos enfants au stage formatif d'été qu'il dirige.
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