Aujourd'hui trois avis de décès plus. Les exeques s'accumulent chaque jour. Ils ne m'entrent pas plus dans mon agenda. Les files du régiment qui marquait le pas dans l'école s’éclaircissent.
Il ne me tracasse pas qu'ils me voient pleurer. Je l'ai déjà dépassé aux soixante. Musique, un piano... une mémoire. Et les larmes se montrent, rodent.
Il paraît que je me délecte dans le désespoir, mais c'est un moment. Il faut recueillir ce ballon à nouveau, avancer avec foi, qui endommage. Il doit endommager, il doit endommager. Il est vie.
Je veux continuer à apprendre. Le jeu a de nouvelles règles maintenant. Cet euskera entre avec termalgin. Personne n'a sifflé ou je ne l'ai pas entendu. Il y a un intervalle. Si tu ne passes pas, tu es mort.
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